«Chez Marcel», derrière la porte en fer…
Avril 1991, minuit. Ma petite Fiat jaune s’engouffre dans la ruelle Chinois déserte, se faufile entre les nids-de-poule et trouve sa place devant le plus célèbre « cabaret » de Saint-Denis et de La Réunion : « Chez Marcel ». L’entrée est cadenassée par une chaîne bien serrée. Il suffira de frapper fort à la porte en fer pour que les yeux bleus de Marcel surgissent dans le noir. Ce soir-là, la porte s’entrebâille une dernière fois.