Andy Razaf, jazzman au destin cabossé (8)
Andy Razaf, fils d’une famille royale malgache par son père et d’une famille d’esclaves par sa mère, grandit à Harlem où il écrit son premier texte à 17 ans… avant de devenir l’«un des plus grands paroliers de l’âge d’or du jazz aux États-Unis». Un destin heurté — cabossé — qui transparaît dans les paroles de ses chansons. «Mon cœur est en lambeaux, pourquoi suis-je né ?» À suivre…