Auteur : Jean-Claude Legros

La tristesse infinie dans les yeux d’une reine (3)

Exilée depuis 1897, la dernière reine de Madagascar, Ranavalona III, retrouve la terre de ses ancêtres, quarante-un ans plus tard, en 1938, lorsque le bateau «Ville de Reims» entre dans le port de la Grande Ile et qu’un train spécial transporte son cercueil de Toamasina vers le tombeau des reines, à Antananarivo… Est-ce pour cette raison que les photos, portraits, gravures qui représentent la reine Ranavalona III montrent une femme à la beauté troublante et aux yeux emplis d’une infinie tristesse ? À suivre…

A-cause le chate l’Ile-de-Man na point de queue

a in zistoire i sorte en Angleterre, dans inn île i appelle l’Ile-de-Man. L’Ile-de-Man st’inn île dans la mer d’Irlann, rente l’Angleterre ec l’Irlann. L’Ile-de-Man lé pas bien grand, li fait moins de 600 km2, li lé quate fois plus petit que la Réunion. Et li na rien que 80.000 zabitant. Dans l’Ile-de-Man na inn race le chate, i appelle manx, inn race le chate na point de queue. Et à-cause sa ?

Volcenay Zitte, le corps à Salazie, la tête à Saint-Denis

Zitte. Mais dan la tonm, na rien que le corps, la point la tête. D’après sa que de moune i dit, la tête serait enterré Sainnis, i connaît pas quel côté. Mais qui sa l’était ce Volcenay Zitte ? Madame Tiburce, Grand Place, la dit : «La pas bon raconte zistoire le crime, à cause vi connaît, le zaffaire lé risquabe arlevé !»

Le village aux quatorze chats

Certains surveillent la rue du haut d’un toit, d’autres somnolent sur le rebord d’une fenêtre quand ils ne s’amusent pas à grimper sur les murs. Ils sont quatorze en tout à « veiller » sur le village de La Romieu. Quatorze chats de pierre. Tous chats d’Angéline qui ont sauvé les villageois de la disette et des rats au quatorzième siècle. Histoire vraie…